Parc et jardin
Parc du château
Au cœur du centre-ville, le parc du château est un écrin de verdure agrémenté d’arbres centenaires, d’orangers, de citronniers… Il vous offre une vue inégalable sur le château. Vous y trouverez aussi une aire de pique-nique, une boîte à livres, une aire de jeux, un parcours fitness… Un moment de détente dans un cadre bucolique.
Le parc est en accès libre et gratuit.
Jardin de la gare
À proximité de la route de Niort et jouxtant l’ancienne gare, le jardin de la gare est un espace de verdure pour tous ceux souhaitant prendre une pause. Près de ces 1 375 m² d’espace ombragé, deux emplacements pour camping-car, des toilettes publiques et une table de pique-nique complètent le lieu.
Accès libre et gratuit.
Aires de pique-nique
À Coulonges-sur-l’Autize, vous pouvez faire une pause sur les aires de pique-nique à votre disposition librement :
Aire de pique-nique du parc du château
Tables de pique-niques installées dans un spacieux parc ombragé avec vue sur le Château Renaissance, à deux pas de la piscine communautaire et de l’aire de jeux. Levez les yeux, vous y découvrirez de nombreuses essences d’arbres dont certains sont reconnus « Arbres remarquables des Deux-Sèvres ». Peut-être apercevrez-vous les écureuils qui sautent de branche en branche…
Parc du château
Stationnement : Place du château (gratuit)
Aire de pique-nique de la place du Gué
Dans un espace ombragé et calme, à proximité du centre-ville, une table de pique-nique vous attend pour un moment de détente.
Rue de la Maladrerie
Stationnement : Place de la Liberté (gratuit)
Aire de pique-nique de la gare
À l’ombre et à proximité de sanitaires et d’une aire de camping-car, posez-vous le temps d’un instant près de l’ancienne gare et si vous tendez l’oreille, vous entendrez peut-être siffler le train au loin …
Route de Niort
Stationnement : Rue de la gare (gratuit)
Square
Square Maxime
Situé au carrefour de la rue de Fontenay, de la rue de l’Epargne et de la rue du Commerce, cet espace a été créé et aménagé en 2014. Espace de détente accessible à tous, il rend hommage au fameux hôtel-restaurant situé à cet emplacement et tenu par le chef Maxime Bord de 1929 à 1962.
Tout commence au cœur des Années Folles, en 1929. Maxime a 25 ans, il est cuisiner et surtout, il a, au Ritz, tout appris sur les sauces. Tout démarre très fort, le restaurant fait tourner le bar et l’hôtel. En 1940, Maxime ouvre généreusement une cantine pour les Ardennais venus se réfugier. Puis dans les années 1950, le temps des restrictions alimentaires passées, homard à l’Américaine, veau Orloff, canard Montmorency deviennent ses spécialités. On vient de loin (Paris, Nantes, Bordeaux) passer quelques jours à l’hôtel pour profiter de la table. Le lieu est si célèbre qu’il figure sur les cartes postales coulongeoises au milieu du château et de l’église, c’est dire l’importance du monument !
Les représentants de commerces qui sillonnent la France assurent en partie la réputation du lieu. Les trois salles du restaurant peuvent y accueillir 250 convives, on y fait le plein tous les dimanches … Poularde sauce suprême, lumas farcis par milliers … Les banquets sont légion, ni les militaires de Saint-Maixent, ni les internes de l’hôpital de Niort ne poseraient leurs pénates ailleurs !
Les mardis, la foire aux bestiaux remplit les salles de maquignons et d’éleveurs … En cuisine on découpe des quartiers de bœuf, les langoustes, toujours de Roscoff, sont cuites par centaines dans d’immenses bassines ! Ça turbine au restaurant 7 jours sur 7, de 6h du matin à plus d’une heure ! Le soir Maxime relève les pans de son tablier bleu, dans ce sac de fortune il monte la recette du jour dans sa chambre !
Un temps aussi pour la rigolade, tous les soirs, sur la table, en cuisine, les commerçants du bourg à l’apéritif, tout en jouant aux cartes, élaborent les tours pendables … N’ont-ils pas un jour, ou peut-être une nuit, passé les tomates d’un pauvre jardinier au minium, un beau rouge orangé qui un instant fit croire à un mûrissement bien précoce !
Maxime Bord décède en avril 1962, ses obsèques sont suivies par une foule considérable. Sa veuve maintient la réputation du restaurant encore plusieurs années avant un terrible incendie en août 1979.
Des années 1980 aux années 2000, le lieu change de fonction pour devenir tour à tour un commerce de vaisselle et d’électroménager, puis une boutique de pompes funèbres.
Sa réhabilitation en 2014 permet désormais d’apprécier un espace végétalisé, à la mémoire de ce restaurant devenu une institution gastronomique de la région.
Accès libre et gratuit.